Une rencontre fulgurante en 1997. Je cherchais un tableau sur le Fort Saint André. Premier contact, premier achat, début d'une amitié discrète. Elle m'a tout appris sur la peinture provençale, m'a conduit dans mes lectures et a veillé à la justesse de mes connaissances sur le Groupe des Treize dont elle a soutenu mes achats. Aux murs de mon appartement tant de souvenirs d'elle avec mes choix qu'elle a éclairés. Elle restera là toujours présente, avec son humour caustique, nos franches rigolates, nos confidences et ce respect mutuel dans une amitié pudique et discrète. Martine, je vous dois tant. Vous vivrez dans nos cœurs et dans nos souvenirs comme une grande dame du monde des galeries de peinture. Thierry